couverture de la revue Les Nouvelles Esthétiques février 24

Soyons clair, lorsqu’une cliente vient en minceur, la minceur est la partie visible de l’iceberg. Le fait de tonifier et de lisser la peau, de perdre des centimètres n’est que la solution physique que nous apportons à un besoin plus profond.

Dans 9 cas sur 10, il y a une problématique de désamour du corps, de gestion du regard d’autrui ou de soi sur son corps. Certes, une cure minceur fait facilement perdre une à deux tailles à poids constant sur la zone traitée quand l’esthéticienne est bien formée mais quelquefois, quelque soit le résultat obtenu, cela restera insuffisant aux yeux de la cliente.

Pourquoi ?

Parce que dans ces cas-là, le problème n’est pas dans le corps de nos clientes mais dans leur inconscient, dans leurs peurs, dans leurs croyances; et celles-ci savent bien se dissimuler ! Or, tant que cette cause n’est pas traitée, nous pourrons faire tout ce que nous voulons dans nos soins et dans l’accompagnement que nous mettons en place, il y aura toujours un moment soit de blocage, soit carrément d’échec de la cure minceur.

Les injonctions contradictoires de notre société et cette confusion a un impact fort dans le déroulé des cures minceurs, parfois de façon totalement inattendue. En effet, même si les esthéticiennes, formées à la minceur et personnalisant leurs accompagnement, atteignent facilement les résultats promis, la demande de nos clientes est souvent bien plus que cela !

La première fois où j’ai pris conscience de ce problème, c’était il y a maintenant plus de 15ans. J’étais déjà spécialisée en minceur et j’avais d’excellents résultats, puis est arrivée Marie (tous les prénoms des clientes de cet article ont été changé) Elle souhaitait perdre du poids pour se sentir mieux dans son corps. Pour cela, elle a décidé d’être suivie par une diététicienne et par moi: Une cure a priori facile et sans soucis.

Les premières semaines furent magiques : son corps réagissait, les résultats étaient superbes :-15cm de moins de tour de taille, une peau qui se lissait ! Puis, un après-midi, elle passe voir son mari à son entreprise, et un des collègues de son mari, la salue et la complimente sur sa silhouette. «Marie, vous avez maigri, qu’est-ce que cela vous va bien!» Rien de grivois, de mal placé, juste un réel compliment qui se voulait bienveillant.

Le mal était fait, quelque chose en Marie s’est transformé. Elle est arrivée vraiment paniquée à sa séance minceur et me raconte cette histoire, qui, somme toute, est anodine pour moi. Sur le coup, je n’ai pas compris, et dans les semaines qui ont suivi, malgré tous les efforts que nous avons déployé avec la diététicienne, malgré l’envie de Marie d’avancer, sa cure a stagné et son corps a fini par régresser! J’étais impuissante.

Les limites de la minceur traditionnelle

Je ne comprendrais que bien plus tard, grâce aux connaissances que j’ai acquises en me formant au coaching, grâce aux avancées des neurosciences que, suite à ce compliment somme tout anodin, l’inconscient de Marie a pris conscience qu’elle devenait visible ! Et pour des raisons personnelles, devenir visible était une source de peur incontrôlée chez Marie.

Conséquence, en réaction à cette peur, l’inconscient et le corps de Marie ont mis en place toute une série de défenses pour empêcher que la cure ait trop de résultats, voir même plus du tout! A partir de cet instant, nous étions en 2008, je me suis mise en quête de solutions pour ces cures qui stagnaient ou bloquaient sans qu’il y ait de raison apparente.

C’est là que j’ai appris à quel point le cerveau de nos clientes débordait d’imagination quand il s’agissait de saborder nos cures minceurs. En effet, le premier rôle de notre cerveau est de nous protéger contre tous les dangers … et même de nous-même. Nous pensons avoir le pouvoir, or des centaines d’actions sont prises en automatique pour nous simplifier la vie, et son rôle est de prendre les mesures nécessaires pour nous protéger de toute situation perçue comme un danger potentiel (déclenchement des frissons pour se protéger du froid par exemple). Et même si vos clientes viennent avec la volonté de changer de corps, qu’elles vous payent une cure minceur conséquente, si inconsciemment elle voit le fait d’avoir un corps beau, avec un poids de forme idéal comme un danger, le cerveau et l’ensemble du corps de la cliente se ligueront contre vous et la cliente pour minimiser les résultats (voir les contrer entièrement).

Parmi la foison de causes inconscientes à l’échec de nos cures, je vous présente les plus courantes.

Prendre du poids pour ne plus être attirante

La première, malheureusement trop courante, c’est la volonté de ne pas être attirante pour échapper à un «prédateur». Le professeur David Nocca, lors du colloque Physiobell’ 2023, nous expliquait que 30% de ses patientes obèses le sont devenues à la suite d’une agression physique ou sexuelle. Et pour lui, il pense que ce serait même 50% de ses patientes qui sont dans ce cas-là, même si elles ne le reconnaissent pas toutes.

Le corps grossit pour ne plus être attirant. La personne prend du poids, se laisse aller afin dene pas attirer l’attention et ainsi se protéger d’une potentielle agression à venir. Tant que la cliente n’aura pas réussi à réellement reprendre confiance en sa sécurité et qu’elle n’aura pas géré son possible sentiment de culpabilité, vous pourrez tout faire dans vos cures minceur, ce sera voué à l’échec.

Prendre du poids par manque

Une autre cause, c’est à l’inverse, je prends du poids pour attirer l’attention. «Prendre de la place» est un moyen pour exister aux yeux des autres. Souvent ces clientes-là ont l’impression de ne pas compter aux yeux des personnes qu’elle aime ou de manquer de considération. Souvent elles vont vous parler pendant les séances, qu’elle se tue à la tâche pour faire plaisir aux autres et que personne ne voit tout ce qu’elle fait, qu’elle ne reçoit aucune reconnaissance de sa famille. Et la seule solution que son corps connait pour être vue par son entourage est de prendre du volume, «prendre de la place».

Du coup, vous imaginez bien le combat inconscient en elle pendant la cure minceur. Au-delà du manque d’affection, la peur de manquer en général va activer notre cerveau pour mettre en place des comportements addictifs et ainsi accumuler, emmagasiner toujours plus. Nous pensons immédiatement aux excès de nourriture, mais cette peur peut être liée à l’argent, etc. Votre cliente qui vit cette peur va, non seulement avoir des kilos en trop, mais ne sera bien que si sa cuisine regorge de victuailles et son frigo soit plein à rabord.

Cela peut être une personne qui a vécu le manque dans son enfance ou était dans un environnement où ses besoins de base (que ce soit matériels ou affectifs) ou matériels n’ont pas été satisfaits. Or la cliente qui est dans ce cas-là, vous dit «je veux perdre du poids»mais son inconscient lui dit«non, non, je ne veux pas perdre». La notion de perte est totalement incompatible à la peur du manque en elle.

Prendre du poids par culpabilité

Une autre cause va être liée à la culpabilité. Nora est une illustration parfaite et malheureuse de la pression que nous nous mettons sur les épaules. Nora était une femme magnifique mais en fort surpoids. Elle venait me voir pour travailler sur son corps et au fur et à mesure des rendez-vous, elle s’est livrée. Elle était un bébé nourrie avec des biberons avec du Bisphénol A. Malheureusement pour elle, elle a appris à 24 ans que ce perturbateur endocrinien l’avait rendue stérile. Or, Nora était marocaine, et dans ses valeurs éducationnelles, la femme qui ne pouvait pas enfanter, n’était rien.

Elle se sentait coupable de ne pouvoir enfanter et quand on vit avec ce sentiment à longueur de temps, il influence votre système digestif et va compliquer la digestion, l’assimilation et l’élimination de la nourriture.Grâce à l’accompagnement que j’ai fait avec elle, elle a pris conscience qu’elle a commencé à prendre du poids à l’annonce de son infertilité. Elle s’est rendue compte aussi que son fort surpoids faisait que des personnes dans son entourage professionnel, pensait qu’elle était enceinte. Et, quand ils lui posaient la question, cela ravivait sa blessure.

A partir du moment où elle a pris conscience de cela, des solutions lui sont apparues et un chemin de pardon et d’acceptation a été envisageable pour elle. Et par là-même une reconquête de son corps.

Prendre du poids pour assumer le poids des responsabilités

Vous allez avoir aussi vos clientes qui ont beaucoup de responsabilité, qui sont soutien de famille.

Je me souviens d’Edith, qui avait une trentaine d’années, elle était le soutien de ces 3 frères et sœurs suite au décès de leurs parents. Elle avait dû assumer la charge familiale. Pour «tenir le coup», «être forte», son inconscient lui avait fait prendre du poids. Elle avait associé le fait d’avoir un corps en surpoids à avoir la force d’assumer la situation. Et donc si elle mincissait, elle devenait faible et ne pourrait plus assumer son rôle de pilier pour sa famille. Inacceptable pour son cerveau! Et enfin vous avez aussi vos clientes qui sont stressées. Le stress excessif ou chronique est nocif. Il va engendrer de nombreux dysfonctionnements.

La personne en surpoids va sécréter plus de cortisol, fatiguer ses glandes surrénales. Et pour conséquence, va manger plus pour s’apaiser, pour faire taire ce sentiment d’inconfort qu’elle vit au niveau du plexus. Et bien que ce soit un dérèglement hormonal, ne pas travailler sur les causes et sur les déclencheurs de la compulsion alimentaire sera dommageable pour votre accompagnement.

Comme vous le voyez, nos clientes sont complexes et bien des raisons peuvent expliquer le manque de résultat, voir l’échec d’une cure minceur. Le souci, est que tant que toutes ces peurs restent inconscientes et que vos clientes n’en ont pas consciences, nous pouvons faire tout ce que nous voulons, nous n’aurons pas de résultats.

L’inconscient est toujours celui qui gagne à long terme. C’est pourquoi à force de travail et deformation j’ai créé ce nouveau métier pour les esthéticiennes qui allie coaching, gestion émotionnelle et expertise métier: la neuro-esthétique.

Le coaching minceur, allié de vos cures

Prendre conscience des blocages et les comprendre est le premier pas pour débloquer la situation. Encore faut-il les connaître et les identifier chez nos clientes, puis savoir comment accompagner les clientes qui le souhaitent.

Ce chemin est celui qui offrira les meilleurs résultats à court et à long terme, mais il demande un réel investissement de votre cliente qui doit accepter de se confronter à ses peurs. En effet, accepter de travailler sur les causes des blocages, que ce soient des croyances, des peurs ou des compulsions alimentaires, implique que votre cliente ait confiance en vous et se sente accompagnée et non jugée dans son parcours.

Sans fausse modestie, cette empathie, ce lien avec la cliente, c’est notre cœur de métier. Nous avons toutes les qualités de cœur et d’écoute pour offrir ce type d’accompagnements. Le plus compliqué, mais aussi le plus valorisant, est d’apprendre les différents outils de coaching que vous pourrez proposer à votre cliente pour l’aider à prendre conscience de ses blocages, puis de lui proposer des exercices adaptés à sa situation pour qu’elle trouve sa solution, son chemin.

Le rôle du coach est particulier, il ne résout pas le problème, il ne donne pas de solutions, il accompagne sa cliente pour qu’elle trouve elle-même sa réponse unique.

L’esthéticienne, la coach minceur rêvée

L’esprit et le corps sont étroitement liés et la bonne santé de l’un influe l’autre (ou inversement). Et, nous esthéticiennes, grâce au coaching minceur, nous pouvons avoir une action sur ces deux pans.

Nous avons enfin le pouvoir, grâce à l’arrivée du coaching minceur vu en neuro-esthétique, de proposer un accompagnement réellement complet à nos clientes pour en finir avec les régimes yoyo, la frustration et les complexes qui leur pourrissent la vie.

Un accompagnement quiprend réellement en compte votre cliente dans sa globalité: physique, morale, environnementale, familiale, … Car, oui, tous ces facteurs peuvent influer sur votre cure.

Pourquoi sommes-nous légitimes à proposer cet accompagnement à 360° ? Tout simplement parce que nous avons la confiance de nos clientes, nous les comprenons. Qui mieux que nous, sommes à même à comprendre la souffrance qu’elles vivent lorsqu’elles n’aiment plus leur corps, n’ont plus d’estime d’elles-mêmes, n’aiment pas l’image que leur renvoie le miroir ?

Le psychologue va travailler sur les traumatismes du passé, sur l’impact psychologique, mais ne prendra pas en compte l’impact sur le corps de la cliente. La nutritionniste s’occupera des calories et de l’équilibre alimentaire, mais ne s’intéressera pas à la cause des compulsion alimentaires.

Le coach sportif quant à lui, sera dans la performance, le dépassement. Mais que faire avec une cliente qui n’a plus confiance en elle et qui ne se sent pas capable de faire le moindre petit effort ? L’esthéticienne est la seule profession qui comprend les souffrances du corps et l’impact que cela a, dans l’estime et l’image de soi des clientes.

Notre profession est dans l’accueil, le non-jugement et dans l’envie assumée de faire du bien à l’autre qui vient nous confier leur corps. Nous sommes les reines de l’esthétique, de la beauté ! Ne l’oublions pas !

Grâce à l’expertise et la formation toujours plus approfondies des esthéticiennes, le coaching minceur apporte une profondeur et des solutions à toutes ces clientes qui stagnent ou qui n’ont pas de résultats dans nos centres minceur.

Devenir coach minceur

Pour apprendre à coacher une personne en souffrance, il faut se former, comprendre les mécanismes que le corps met en place pour se protéger. C’est en posant les bonnes questions au bon moment que j’ai aidé Nora à prendre conscience de sa réalité et ce sont les exercices que je lui ai proposé qui lui ont permis de trouver une solution valide pour elle. Et pour effectuer cela, il est nécessaire de comprendre ce qu’est une émotion, une peur, de comprendre pourquoi nous avons ces réactions et comment réapprendre à notre corps et notre cerveau pour aller au-delà.

Les neurosciences et la psychologie comportementale, ont apporté des réponses essentielles pour comprendre les mécanismes sous-jacents du comportement alimentaire et du bien-être corporel.

Avec ces nouvelles connaissances, vous apprendrez à identifier les schémas comportementaux, à aider votre cliente à reprendre en main ses habitudes de vie et à appliquer des techniques de gestion du stress et de l’anxiété. Comme je l’ai dit précédemment, notre métier nous a appris à créer ce lien de confiance avec notre cliente nécessaire au coaching, il ne reste plus qu’à acquérir la méthode et les exercices pour structurer votre coaching. Et cela fait plus de 15 ans que je veux apporter une réponse efficace à la souffrance des clientes qui viennent me voir et qui m’accordent leur confiance dans leur prise en charge corporelle, donc j’ai été chercher ces outils et ces méthodes.

J’ai ainsi structuré toutes ces connaissances à l’intersection de nos soins esthétiques, des neurosciences et de la neurobiologie, afin d’atteindre cet objectif : d’optimiser le bien-être et l’apparence.

Sur ces 3 dernières années, parmi les près de 50 neuro-esthéticiennes que j’ai formé, certaine sont mis en place des coaching spécialisés en minceur (un des sous-domaines de la neuro-esthétique). Par exemple, je vous parlerais de Mégane qui est dans un petit village de 700 habitants et qui a fait plus de 20 coachings en moins de deux ans. Elle croule sous des témoignages dont voici deuxe xemples :

«Un petit message pour vous remercier de votre professionnalisme pour mon coaching qui marche super bien grâce à tous vos conseils qui ne sont très précieux. En ce qui me concerne, je suis très heureuse du travail accompli, et j’avoue être très fière de moi»

«Grâce à la persévérance, à l’écoute et au professionnalisme de Mégane, j’ai pratiquement atteint mon poids de forme et réussi à le stabiliser. Je suis très contente du résultat. Merci Mégane»

Ce sont des témoignages qu’elle a publié sur sa page facebook. Ses clientes acceptent de publier ces témoignages et même la recommandent chaleureusement.

En travaillant sur les causes profondes de leur mal-être, les clientes n’ont plus «honte» de parler de leurs cures minceur. Cela a aussi changé la façon dont Mégane appréhendait la minceur. Maintenant, elle propose un accompagnement global et malgré le fait qu’elle soit dans un petit village, elle a progressé au niveau de son offre, de son chiffre d’affaires tout en développant un vrai confort de vie.

Elle a plus de confiance en elle et a développé une fierté quant à son métier et sait toutes les transformations qu’elle peut apporter à ses clientes qui viennent la voir. Non seulement elle a des solutions pour leur corps (grâce aux techniques minceur et anti-âge qu’elle propose) mais a aussi une boite à outils gigantesque pour les aider à vaincre les blocages qui les empêchent d’avoir du résultat car l’inconscient et l’émotionnel s’en sont mêlés.

La minceur est un domaine technique exigeant, nécessitant de prendre en compte la cliente dans sa globalité, de maitriser plusieurs techniques qu’elles soient manuelles ou technologiques.

Réussir (ou malheureusement rater) une cure minceur transforme la vie de votre cliente bien au-delà de son simple aspect physique:la relation au corps impacte la vie sociale, intime, familiale.

Nous, esthéticiennes, avons le pouvoir de faire bouger le corps de nos clientes grâce à nos techniques, mais maintenant, nous avons aussi la possibilité de prendre soin de leurs états les plus intime: nos pensées, nos émotions et nos perceptions influencent notre peau et notre corps, c’est donc à nous de les prendre aussi en charge.

Un esprit sain, dans un corps sain

Prenez la voie de Mégane et augmentez le potentiel de vos clientes ainsi que le votre en vous faisant accompagner !

 

Auteur/autrice

florence@physiobell.fr

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